LYLE AND SCOTT NEWS

CRASH CHEZ LYLE & SCOTT

Franck Gunther l'agent qui a repris la marque au côté de 10 autres marques déjà présentes dans son agence aurait déjà rendu le tablier pour la marque Lyle & Scott.

La très belle histoire de LYLE & SCOTT en France a tourné au crash quand la direction a décidé de changer son marketing et sa distribution en FRANCE qui était jusque là  exemplaire. La marque était présente dans les plus belles boutiques de France, pratiquement plus désormais.  Aujourd'hui elle est soit aux abonnés absents, soit dans des magasins de 2eme ou 3 eme division où elle ne souhaitait pas être présente auparavant. Pourquoi? La faute à des décideurs mal inspirés et à un nouveau choix d'agent sans doute peu judicieux car pas adapté à l'ADN historique de la marque Ecossaise. En effet l'agent qui a repris la distribution compte environ plus de 12 marques dans son showroom. De ce fait il lui est difficile de gérér tout cela quelque soit ses qualités de vendeur. De plus le marketing et la communication ont été mis à l'index en France lui facilitant pas la tâche.

Les sous agents régionaux de la société Five O Five n'avaient semble t'il pas d'idées de l'ADN et de l'histoire pointue de cette marque. De plus les détaillants de prestige ont été mis de côté de façon peu apprécié au détriment de boutiques de deuxième choix mais qui donnaient des commandes de quelques euros de plus. Quid de l'image?  C'est une autre raison des difficultés mal appréhendées et anticipées.

Alex Souter renvoyé depuis ( voir ci dessous ) de la marque croyait qu'avec un agent cumulant autant de marques et des sous agents lui amènerait des nouveaux clients . Rien de cela et la propriétaire l'a remercié pour ses choix en le congédiant. Mais le mal était fait.

Un gros gâchis en fait.

 

Alex Souter a été licencié de chez LYLE & SCOTT. Arrivé en Novembre 2012 en tant que responsable commercial de la France il a réussi l'exploit de descendre la marque à un point jamais atteint en trente années. Il nomme un nouvel agent possédant  plus de 12  marques en Juillet 2013 alors que jusqu'ici la distribution etait un exemple et envié par les concurents.  La chute du chiffre d'affaire est fulgurante avec en plus la perte ou la réduction à peau de chagrin des plus beaux comptes du sud de la France. Il y a peu cet agent aurait rendu son tablier mais le mal est aussi fait .

Richard Martin lui aussi a été licencié. En une année il a fait dégringoler la marque par des choix que personne n'a compris. Il est un des artisans de l'effrondement du marché Français en ayant approuvé la stratégie d'Alex Souter et en oubliant que l'écoute est une qualité. 

 

Enfin n'oublions pas Gavin Murphy qui lui a eu l'intelligence de partir en JANVIER 2013 avant la chute dont il n'est pas étranger.

De son passage il restera que peu de choses en France si ce n'est d'avoir vendu  Lyle & Scott chez Mistigriff et Degriff Mode. Belle statégie!!

 

Espérons que LYLE & SCOTT se remette vite de ces passages éphémères mais si négatifs car nous aimons cette marque.

LYLE & SCOTT EN BAISSE SELON DRAPERS

D'après DRAPERS LYLE & SCOTT aurait vu ses ventes baissées de façon sensible alors que les autres marques de mode jeune en GB sont en hausse. Pour enrayer cette baisse la direction a restructuré ses activités sous la direction d'un nouveau PDG venant des produits d'entretien pour WC et cuisine puis des médicaments engagé via Twitter. La création d'une ligne de slips et caleçons est aussi une des bouées espéré pour sen sortir.

L'agent en FRANCE qui avait repris l'excellent travail réalisé depuis de longues années aurait lui démissioné après une chute grave des ventes et la perte de beaux points de vente qui existaient. Quel dommage que cette belle marque soit dans cet état. Nous lui souhaitons de se redresser.

Lire l'article en Anglais:

Lyle & Scott has announced a major restructure, creating three separate divisions and widespread changes to employees’ roles as a result.

 

The company has been carved into three – a sportswear division, footwear and accessories, and fashion. Each arm will be led by a director “to improve efficiencies and inevitably drive the brand forward”.

Lyle & Scott is also launching an underwear range, which will sit within the footwear and accessories arm.

The young fashion brand, which appointed new chief executive Philip Oldham in December, has hived off its sportswear into a new division as it looks to return to growth. Its most recent set of results, for the year to March 31, 2013, showed a decline in sales of 7.6% to £29.7m, and a drop in margins from 45.7% to 45.1% 

Staff were told yesterday (May 1) that their roles will sit within one of the specific divisions from the summer.

One well-placed source told Drapers there was concern among staff about their futures, but a Lyle & Scott spokeswoman insisted there would be no job losses.

Instead the company plans to increase its head count, she said.

Earlier this week, Lyle & Scott took out an advert in the Metro newspaper saying it was “looking for the next purple cow”.

Roles it is looking to fill include product development, creative teams, graphic design, innovations, human resources and account managers.

It is running a speed-dating recruitment event on May 6, in which hopeful candidates will be given a 15-minute slot with the board of directors.

The recruitment of Oldham for his £250,000 role was also unorthodox, as he was hired through a Twitter campaign. He joined from the pharmaceutical sector, most recently leading the manufacturing, marketing and sales teams at AstraZeneca. Before that he worked at personal hygiene products manufacturer Kimberly-Clark.

Readers' comments

Tinkering with the problem if you ask me, this brand has probably one of the worst management teams out there and rather than moving a few rolls around they should have rolled a few heads

Young fashion brand Lyle & Scott has hired a fashion novice as its new chief executive after turning to social media to recruit for the position.

 

Philip Oldham clinched the £250,000-a-year role after submitting a video application that owner Sue Watson said had her “engaged from the first minute”. He was responding to a social media campaign carried out in partnership with headhunter Beringer Tame that kicked off with the tweet “Wanted: #CEO for our iconic British fashion brand. £250k basic salary. Corporate Journeymen need not apply.”